BREAKING LOCK - FINISHED

BREAKING LOCK - FNISHED

 

CONTEXTE :

L’Iran est au bord de l’asphyxie suite aux années d’embargo largement entretenu par les États-Unis. Le régime n’a plus les moyens d’entretenir son armée et d’assurer la sécurité sur son territoire. Des factions dissidentes en profitent pour prendre le contrôle des régions de l’Est du pays. Le régime en place ne mène qu’une répression très timide, à la fois par manque de moyens, par soucis diplomatique, mais aussi en gardant espoir que ces factions empêcheront l’incursion des d’autres états sur leur territoire.

Suite à de nombreuses attaques sur les bâtiments passant dans le détroit, les États-Unis ont demandé une action de la part de l’ONU afin de sécuriser le secteur pour venir en aide aux populations locales harcelées par le régime et les insurgés.

La résolution N° 1664.8.6 de l’ONU a donc été votée (officiellement sans pression de la part des États-Unis). Elle instaure une zone de contrôle démilitarisée (par l’Iran) à l’Est du pays pour apporter l’aide nécessaire aux populations locales, et maintenir la paix.

Les États-Unis, dans leur grande générosité, ont décidé de déployer 3 groupes menés par le porte avion USS. T. Roosevelt, emportant la VF(A)-53 ainsi que 2 groupes légers « Tarawa » de soutien.

La France, quant à elle, a décidé de déployer ses Mirages 2000 du 1/3 Navarre sur la base d’Al Dhafra qui abrite également les avions de soutien.


SITUATION :

Les forces de la coalition du monde libre, bien éduquées et altruistes, arrivent sur place 2 jours avant l’ultimatum du retrait de toutes les armes dans la zone d’exclusion. L’Iran ne pouvant prendre le risque d’affronter nos forces s’est retiré, sans se soucier des différentes factions présentes. Elle ferme les yeux sur les vols orchestrés dans ses réserves proches de la frontière de la zone. Pas de soutien officiel aux insurgés, mais pas de lutte contre non plus.

Dans un premier temps, l’ONU va installer une base avancée à l’ouest de la ville se Seerik. Cette base servira de point de départ pour distribuer l’aide humanitaire, et assurer une présence au sol de la coalition. Les bases de Khasab et Ras El Khaimah peuvent être utilisées pour déployer nos avions et servir de base de déroutement.

L’Iran a donné des ordres clairs à ses troupes afin qu’aucune action ne soit entreprise contre les avions et troupes présentent dans la zone. Cependant la fougue de certains militaires reste un point à ne pas négliger, et une grande vigilance est nécessaire, sachant que la coalition a été claire sur le fait qu’elle utiliserait « tous les moyens à sa disposition afin d’assurer la sécurité des populations et de ses forces ». Par contre l’Iran n’entend pas laisser nos avions survoler son territoire.

Les insurgés ne sont pas encore organisés. Ils disposent de peu de moyens matériels. Mais il est fort probable qu’ils cherchent à mieux s’équiper. Actuellement, ils ne disposent que de quelques canons de 23 mm sur camion, et surement de quelques manpads ayant transités par la frontière Afghane. Les insurgés sont toutefois mal entrainés. Il faut s’attendre à de simples tentatives de groupes isolés, sans toutefois minimiser les risques.

Dans un souci de communication (les élections approchent) il est demandé aux forces de la coalition de ne faire usage de la force qu’en cas d’absolue nécessité.


 

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